Tout savoir en breton sur le don de plasma!

Michel LE GOUIL membre actif de l’amicale de FOUESNANT est bretonnant et a participé à une émission en breton sur la radio ICI BREIZH IZEL.

Cette interview a été diffusée lundi 29 Septembre à 06h45.

Ce matin (Mardi 30 Septembre), il est allé à la maison du don de Quimper pour un interview en breton sur le plasma.

Elle devrait être diffusée demain (01 Octobre) à la fin du journal 12/13 de F3 Bretagne (An Toal Lagad).

Merci et bravo à lui! Merci également à la radio!

Traduction en français  (Avec Google Translate):

**** En gras modification car la traduction n’était pas correcte

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En France, il manque près de 1 000 dons de plasma par semaine d’ici 2025.

L’EFS (Fonds Français du Sang) lance un appel aux dons. « Près de 1 000 dons de plasma supplémentaires seraient nécessaires chaque semaine », annonce l’EFS en 2025.

En Bretagne, le nombre de dons de sang est relativement stable, mais les besoins en plasma sont importants. Le plasma sanguin est la partie liquide du sang où flottent les cellules sanguines. Il représente 55 % du volume sanguin total. Il est utilisé pour transporter les cellules sanguines et les hormones dans tout l’organisme.

En moyenne, le corps d’un homme contient entre 2 750 et 3 300 ml de plasma.
Le plasma n’est pas seulement utilisé pour les transfusions (10 %) mais aussi pour la fabrication de médicaments.

Chaque année, des milliers de patients ont besoin de médicaments contenant du plasma. Certains souffrent de maladies chroniques, ou de cancers par exemple. Et ces besoins augmentent « car la population vieillit », explique Michel Gouil, membre de l’association du don du sang de Fouesnant. Habituellement, les personnes suivant un traitement médicamenteux au plasma doivent gérer une quantité importante de plasma lorsqu’elles doivent en recevoir à vie. Cela représente généralement 30 à 50 dons de plasma par mois et par patient.
Plasma acheté aux États-Unis
La France manque de plasma et dépend des importations en provenance des États-Unis.

L’EFS s’est engagé auprès de l’État à collecter davantage de plasma sur le territoire français. 
L’objectif est d’en collecter 50 % d’ici 2028. Actuellement, les deux tiers du plasma nécessaire sont importés des États-Unis. Mais ce sont les personnes pauvres qui donnent le plus, car elles sont rémunérées pour leurs dons, alors qu’elles donnent beaucoup… trop, même si cela peut nuire à leurs enfants. Par conséquent, les États-Unis n’ont pas les mêmes valeurs morales que la France. « Pour ne pas être liés à un autre pays, nous devons perpétuer l’esprit du don bénévole », déclare Michel Gouil. En raison de l’instabilité géopolitique mondiale, la France souhaite être autosuffisante et indépendante en matière de plasma.
Donner du plasma n’est pas plus difficile que donner du sang.
« Donner cette partie du sang n’est pas plus difficile qu’un don de sang classique », explique Michel Gouil, membre de l’association du don du sang de Fouesnant. Le don de plasma nécessite un rendez-vous et ne peut être effectué qu’aux Maisons du Don (Brest, Lorient, Quimper), où des machines permettent de séparer le plasma du sang. Il est nécessaire de prendre rendez-vous à l’avance.
Le don de plasma est encore relativement méconnu en France, bien qu’il se déroule presque de la même manière qu’une prise de sang. Il dure un peu plus longtemps, environ une heure et quart au total, mais ne prélève pas de cellules sanguines, ce qui permet de ne pas se fatiguer après.
En France, le plasma peut être donné à partir de 18 ans et jusqu’à la veille de 66 ans. Vous pouvez donner tous les quinze jours, soit 24 fois par an.

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